e-artsup

Créatif passionné, expert et stratège, le profil vers la réussite

 Se montrer capable de mettre la technique au service de la création tout en étant apte à manager des équipes et élaborer des stratégies, tel est le secret d’une carrière aboutie dans la communication et la création. Un savant cocktail que peu de formations parviennent à proposer mais qui fait pourtant la différence, par la suite, entre des carrières normales et des parcours exceptionnels…

« e » pour digital, espaces virtuels et interactivité. « Art » pour créativité. « Sup » pour formation au management, telle est la manière dont e-artsup aime se décrire. Une école de création doublée d’une préparation à l’entreprise et au leadership: une formule claire et efficace que peu d’établissements proposent. Or il s’agit pourtant de la clé pour s’assurer une carrière harmonieuse. Selon Nicolas Becqueret, directeur des études d’e-artsup : « Les filières de pure création sont de plus en plus encombrées, alors qu’il y a beaucoup d’opportunités pour des responsables capables d’imaginer des projets innovants et d’élaborer des stratégies. Etablissement de création généraliste en cinq ans, nous ne cherchons pas à former des techniciens ou des spécialistes mais plutôt des professionnels qui deviendront rapidement responsables d’équipes. »

 

Trois ans pour apprendre les fondamentaux… Deux ans pour se spécialiser…

 Former des créatifs, qui maitrisent à la fois la technique et le management, ce projet explique tout le cursus de l’école et tout d’abord un premier cycle de trois ans monté pour inculquer les fondamentaux. Apprentissage du dessin, de l’illustration, de la PAO et de l’infographie, enseignements de typographie, de photo, d’expression graphique ou encore de langue anglaise, de quoi disposer d’une base de connaissances solides et pouvoir, en fin de 3e année, structurer une ébauche de projet professionnel. Ensuite viendra le choix d’une spécialisation de 2e cycle. A ce stade, quatre filières seront possibles: Design & communication, Game design, Design interactif et Design Motion. En plus de cette orientation, les élèves auront la possibilité de partir étudier un semestre à l’étranger. En 5e année il s’agira enfin de mener à bien le « grand projet » par lequel s’achèvera le cursus. En cours de route, les élèves se seront bien sûr frottés aux réalités du monde professionnel, notamment par le biais de plusieurs stages obligatoires en 2e, 3e et 4e année, sans oublier un semestre complet de 5e année.

 

Des collaborations avec l’ISG, l’ISEG Group mais aussi HEC et l’ESCP Europe

Parce que les diplômés d’e-artsup devront plus tard travailler avec toutes les composantes de leur entreprise, l’établissement a par ailleurs veillé à monter des collaborations avec des étudiants d’univers différents. 

Des travaux communs ont donc été mis en place avec Epitech mais aussi avec l’ISG et ISEG communication & marketing. D’importants partenariats ont par ailleurs été noués avec l’ESCP Europe et HEC. Ainsi cette dernière institution a-t-elle fait appel deux années de suite aux élèves d’e-artsup mais aussi d’Epitech dans le cadre du Digital Innovation for Business Certificate Program (DIB). « Il s’agissait pour les étudiants de HEC de s’adjoindre les compétences d’informaticiens et de designers graphiques sur certains travaux de dernière année. Parce qu’un projet e-business faisant appel à une vraie dimension numérique ne peut être correctement conduit sans l’apport de ces savoir-faire. C’est d’ailleurs comme cela que travaillent les entreprises et agences.» Des équipes regroupant des élèves d’Epitech, d’e-artsup et de HEC ont donc été montées dans le cadre de cette certification. L’an dernier, une quinzaine d’élèves d’e-artsup ont ainsi décroché le label « Digital innovation for business » de HEC. Preuve de l’intérêt de ces travaux, l’un des projets présentés l’an dernier, Presbystore, est même en train de se faire une jolie place dans le monde de l’e-business.

 

Une reconnaissance de la sphère professionnelle

En plus de cette reconnaissance académique, la sphère professionnelle n’a pas manqué elle aussi de remarquer le potentiel des « e-artiens ». Ainsi le Club des directeurs artistiques a-t-il remis au printemps dernier le premier prix de son concours étudiant annuel à une équipe issue de la filière Design & communication devant 270 autres projets. En juillet, nouvelle récompense, les élèves de l’école remportaient les premiers prix « print » et « vidéo » du concours de Génération Pub face à plus de 700 créations concurrentes.

Autre preuve de l’intérêt suscité par l’école au sein de son environnement professionnel, bon nombre de ses élèves, à partir de leur 5e année, travaillent en free lance en parallèle à leurs études.

Ces marques de reconnaissance soulignent chacune les qualités de ce parcours mêlant intelligemment moments de formation et de mise en pratique, cours et projets personnels et collectifs. « Nous essayons de varier au maximum les travaux que nous proposons pour faire de cette scolarité un moment d’émulation, complète le directeur des études. Tout est mis en œuvre pour que notre école soit avant tout considérée comme un lieu de communication et de vie avec des locaux d’ailleurs accessibles 24h sur 24 et 7 jours sur 7… le cœur de la création doit être la passion : en effet,  il y a une demande en jeunes motivés et inventifs dans l’économie d’aujourd’hui.  Pour professionnaliser ces envies e-artsup apporte la formation adéquate. »

Un  parcours capable de former des personnalités créatives capables de voir plus loin que le bout de leur souris, pour s’aventurer à travers tout l’univers de l’économie numérique.

Créatif passionné, expert et stratège, le profil vers la réussite

 

Se montrer capable de mettre la technique au service de la création tout en étant apte à manager des équipes et élaborer des stratégies, tel est le secret d’une carrière aboutie dans la communication et la création. Un savant cocktail que peu de formations parviennent à proposer mais qui fait pourtant la différence, par la suite, entre des carrières normales et des parcours exceptionnels…

 

« e » pour digital, espaces virtuels et interactivité. « Art » pour créativité. « Sup » pour formation au management, telle est la manière dont e-artsup aime se décrire. Une école de création doublée d’une préparation à l’entreprise et au leadership: une formule claire et efficace que peu d’établissements proposent. Or il s’agit pourtant de la clé pour s’assurer une carrière harmonieuse. Selon Nicolas Becqueret, directeur des études d’e-artsup : « Les filières de pure création sont de plus en plus encombrées, alors qu’il y a beaucoup d’opportunités pour des responsables capables d’imaginer des projets innovants et d’élaborer des stratégies. Etablissement de création généraliste en cinq ans, nous ne cherchons pas à former des techniciens ou des spécialistes mais plutôt des professionnels qui deviendront rapidement responsables d’équipes. »

 

Trois ans pour apprendre les fondamentaux… Deux ans pour se spécialiser…

 

Former des créatifs, qui maitrisent à la fois la technique et le management, ce projet explique tout le cursus de l’école et tout d’abord un premier cycle de trois ans monté pour inculquer les fondamentaux. Apprentissage du dessin, de l’illustration, de la PAO et de l’infographie, enseignements de typographie, de photo, d’expression graphique ou encore de langue anglaise, de quoi disposer d’une base de connaissances solides et pouvoir, en fin de 3e année, structurer une ébauche de projet professionnel. Ensuite viendra le choix d’une spécialisation de 2e cycle. A ce stade, quatre filières seront possibles: Design & communication, Game design, Design interactif et Design Motion. En plus de cette orientation, les élèves auront la possibilité de partir étudier un semestre à l’étranger. En 5e année il s’agira enfin de mener à bien le « grand projet » par lequel s’achèvera le cursus. En cours de route, les élèves se seront bien sûr frottés aux réalités du monde professionnel, notamment par le biais de plusieurs stages obligatoires en 2e, 3e et 4e année, sans oublier un semestre complet de 5e année.

 

Des collaborations avec l’ISG, l’ISEG Group mais aussi HEC et l’ESCP Europe

 

Parce que les diplômés d’e-artsup devront plus tard travailler avec toutes les composantes de leur entreprise, l’établissement a par ailleurs veillé à monter des collaborations avec des étudiants d’univers différents.

 

Des travaux communs ont donc été mis en place avec Epitech mais aussi avec l’ISG et ISEG Business & Finance School. D’importants partenariats ont par ailleurs été noués avec l’ESCP Europe et HEC. Ainsi cette dernière institution a-t-elle fait appel deux années de suite aux élèves d’e-artsup mais aussi d’Epitech ou de SUP’Internet dans le cadre du Digital Innovation for Business Certificate Program (DIB). « Il s’agissait pour les étudiants de HEC de s’adjoindre les compétences d’informaticiens et de designers graphiques sur certains travaux de dernière année. Parce qu’un projet e-business faisant appel à une vraie dimension numérique ne peut être correctement conduit sans l’apport de ces savoir-faire. C’est d’ailleurs comme cela que travaillent les entreprises et agences.» Des équipes regroupant des élèves d’Epitech, d’e-artsup et de HEC ont donc été montées dans le cadre de cette certification. L’an dernier, une quinzaine d’élèves d’e-artsup ont ainsi décroché le label « Digital innovation for business » de HEC. Preuve de l’intérêt de ces travaux, l’un des projets présentés l’an dernier, Presbystore, est même en train de se faire une jolie place dans le monde de l’e-business.

 

Une reconnaissance de la sphère professionnelle

 

En plus de cette reconnaissance académique, la sphère professionnelle n’a pas manqué elle aussi de remarquer le potentiel des « e-artiens ». Ainsi le Club des directeurs artistiques a-t-il remis au printemps dernier le premier prix de son concours étudiant annuel à une équipe issue de la filière Design & communication devant 270 autres projets. En juillet, nouvelle récompense, les élèves de l’école remportaient les premiers prix « print » et « vidéo » du concours de Génération Pub face à plus de 700 créations concurrentes.

Autre preuve de l’intérêt suscité par l’école au sein de son environnement professionnel, bon nombre de ses élèves, à partir de leur 5e année, travaillent en free lance en parallèle à leurs études. « Nous voyons par ailleurs affluer à ce moment là les propositions de stages et autres commandes émanant des entreprises. »

Ces marques de reconnaissance soulignent chacune les qualités de ce parcours mêlant intelligemment moments de formation et de mise en pratique, cours et projets personnels et collectifs. « Nous essayons de varier au maximum les travaux que nous proposons pour faire de cette scolarité un moment d’émulation, complète le directeur des études. Tout est mis en œuvre pour que notre école soit avant tout considérée comme un lieu de communication et de vie avec des locaux d’ailleurs accessibles 24h sur 24 et 7 jours sur 7… le cœur de la création doit être la passion : en effet,  il y a une demande en jeunes motivés et inventifs dans l’économie d’aujourd’hui.  Pour professionnaliser ces envies e-artsup apporte la formation adéquate. »

Un  parcours capable de former des personnalités créatives capables de voir plus loin que le bout de leur souris, pour s’aventurer à travers tout l’univers de l’économie numérique.

 

Localisé à Le Kremlin-Bicêtre (94270) , Lille (59000) , Lyon (69007) , Bordeaux (33000) , Nantes (44000) , Le Kremlin-Bicêtre (94270)

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Nos missions

Former les responsables de création dans le monde connecté et interactif de la communication et des écrans. 

La pédagogie

e-artsup : des cours bien sûr mais sutout des projets, des workshops, des concours, des partenariats, des rencontres! 

 

La qualité de la formation est garantie par le comité de perfectionnement d'e-artsup : le corps professoral d’e-artsup est composé de professeurs en activités dans tous les domaines de la création. Parmi eux se trouve ceux faisant partie de son comité de perfectionnement :

 

-                 Hugo Allart, directeur de création, Domove Créative Label,

-                 Pascal Beucler, Directeur de la stratégie MSL group – Publicis,

-                 Nicolas Bordas, Président et directeur du développement monde de TBWA,

-                 Vincent Bouvier, PDG de l’agence de communication Csuper,

-                 Bernard Brechet, Directeur associé de Gédéon, agence de motion design,

-                 Alexandra de Chazeaux, directrice de la communication de CU méditerranée Sony Mobile,

-                 Nathalie Cogis, Président de Draft FCB France,

-                 Odile Crezé, directrice de la création de Draft FCB Paros,

-                 Steven Delcourt, Director of créative technologie worlwide – Laforme,

-                 Bruno Delhomme, Directeur associé en charge de la création, agence Blue,

-                 Geoffrey Dorne, designer et chercheur à l’ENSAD,

-                 Matthieu Elkaïm, directeur de la création, CLM BBDO,

-                 Muriel Fagnoni, Vice présidente executive BETC Euro RSCG,

-                 Christophe Fillâtre, président  de Carré Noir,

-                 Jean-Louis Fréchin, Fondateur de No design, designer interactif,

-                 Pascale Giet, Vice président, communication et developpement – Rexel,

-                 Pascal Grégoire, directeur de la création – La chose,

-                 Jean-Christophe Hérail, Président de Publicis et nous,

-                 Jacques Kluger, directeur général – Ensemble / Mediabrands,

-                 Gerard Lepneveu, Brand & advertising Manager groupe Pages jaunes,

-                 Étienne Mineur, Design manager, édition volumique,

-                 Bruno Moreira, directeur de la création, Cheil Worldwire,

-                 Pascal Nessim, Co-président de l’agence Marcel,

-                 Elie Ohayon, Président de Saatchi & Saatchi France,

-                 Nathalie Rastoin, Président et Directrice générale d’Ogilvy France,

-                 Frank Tapiro, président d’Hémisphère droit,

-                 Philippe Thobie, directeur marketing, Monoprix,

-                 Sylvain Weber, co-fondateur de Kontest,

-                 Michel Wlassikoff, Chercheur, auteur, enseignant et éditeur.

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